• C'est avec plaisir que je vous fait parvenir cette information et serai heureuse de partager ce concert avec vous. Claudy NICOL


    L’Orchestre d’Harmonie d’Évreux a le plaisir de vous inviter à son concert de printemps dimanche 15 avril 2012 à 17 heures au Cadran d’Évreux.

    Le Chef et Directeur artistique Thierry Patel sera une nouvelle fois le maître de cérémonie et dirigera les 70 musiciens de l’orchestre à vents et à percussions avec un nouveau voyage musical cette fois à Cuba avec un "Mambo Jambo" de Perez Prado puis en Irlande avec "At Kitty O'Shea's" de Johan de Meij.

    Transporté par mer, le voyage se terminera par le spectaculaire naufrage du paquebot transatlantique britannique le Titanic avec "The Titanic saga" de Piet Swerts, l'une des pièces maîtresses de ce concert.

    Enfin pour apaiser les esprits quelques musiques de célèbres dessins animés bien connus de tous grâce à "Cartoon Capers" de Stephen Bulla seront offertes au public Ébroïcien.

    En complément de cette diversité musicale, l'OHÉ aura le plaisir de vous présenter comme invité d'honneur à ce concert, le Quatuor de percussions de Normandie qui ne manquera pas de démontrer les possibilités impressionnantes de cette grande famille d'instruments.

    Ce concert est gratuit. Nous vous conseillons d'arriver au minimum 30 minutes avant le début du concert pour la garantie d'une place dans la grande salle du Cadran.

    Retrouvez-nous sur
    www.ohevreux.com


    Images intégrées 6




    --
    Orchestre d'harmonie d'Évreux
    12 ter rue Jean Jaurès
    27000 ÉVREUX
    Tél : 06.80.54.18.81
    Mél :
    ohe.evreux@gmail.com
    Site : www.ohevreux.com


  • samedi 16 juin 2012 - Seuls les vieux vont au combat de  Leonid Bykov

    Synopsis

    Deuxième guerre mondiale. Une escadrille de pilotes militaires livre tous les jours un combat acharné contre les pilotes allemands. Les hommes se soutiennent mutuellement et forment même un groupe de musiciens, dirigé par le commandant de l’escadrille. «Les vieux», dans cette escadrille, ont à peine 20 ans, alors que les «blancs-becs», formés à la hâte dans des écoles d’aviation, ne sont pas encore prêts au combat… Ils auront à passer par les dures épreuves de la guerre, à connaitre la joie d’un premier fait d’armes et la grandeur de la fraternité du combat cimentée par le sang. Ils connaitront le premier amour et la douleur de perdre des camarades de combat. Enfin viendra le jour où suivant l'ordre : «seuls les vieux vont au combat», ils devront monter dans la cabine de leurs avions de chasse prêts à décoller…



  • Samedi 26 Mais 2012 - Ekipazh (L’Équipage du 747) d' Aleksandr Mitta

    Ekipazh (L’Équipage du 747) – 1980 – Aleksandr Mitta

    119 mins

    Un jour, par un vol ordinaire, l’équipage transportait ravitaillement et médicaments dans un petit pays qui venait de survivre à un tremblement de terre. Juste après l’arrivée de l’avion, il y eut de nouvelles secousses qui ont endommagé la piste d’envol. L’avion à bord duquel se trouvaient des femmes et des enfants n’a pu décoller que grâce à l’expérience et à la maitrise. On croyait avoir déjà évité le danger quand on apprend que l’avion est endommagé et qu’il est impossible d’atterrir. Ce n’est que grâce au courage et à la maitrise des pilotes que l’équipage réussit à sauver l’avion et les passagers.

     

     

    Durant les années 70, véritable âge d’or du genre catastrophe, les catastrophes naturelles et technologiques portées à l’écran se succèdent et se ressemblent. Quelques titres majeurs, Airport, L’Aventure du Poseidon et La Tour infernale, établissent des normes liées aux contextes politique et économique des États-Unis durant cette période, dont peu de réalisateurs oseront s’affranchir par la suite. Le succès d’Airport allait à lui seul engendrer un nombre incroyable de productions dédiées aux catastrophes aériennes, parmi lesquelles 747 en péril, Les Naufragés du 747 ou encore Airport ’79 Concorde. Un cycle qui allait en partie s’achever dès le début des années 80 avec la sortie de la parodie Y a-t-il un pilote dans l’avion ?, qui se jouait habilement de tous les clichés d’un genre qui peine à se renouveler et qui s’estompe rapidement face à l’arrivée massive de productions post-apocalyptiques.

    equipagedu74705L’Équipage du 747 ne déroge pas à la règle et se montre aussi peu original que ses prédécesseurs. Pourtant, l’intérêt principal de ce titre vient du fait qu’il s’agit non pas d’une énième production hollywoodienne, mais du premier film catastrophe soviétique.

    Une date importante dans l’histoire du cinéma russe, pour un titre qui sera d’ailleurs récompensé par quelques prix et un succès incontestable auprès du public. Le film propose deux parties bien distinctes. La première, qui concerne l’exposition des trois personnages principaux paraît interminable. Si ces derniers s’avèrent correctement caractérisés et que les tracas dont ils sont victimes sont plutôt intéressants, l’avalanche de dialogues devient rapidement ennuyeuse et l’on se demande quand l’action va se décider à débarquer dans un fracas de tôle froissée !

     equipagedu74709

    Heureusement, une fois que l’avion décolle vers sa destination, L’Équipage du 747 prend enfin son envol. Et force est de constater que malgré des moyens limités, le film n’a rien à envier à ses homologues américains. La mission humanitaire vire alors au cauchemar. La terre tremble et s’effondre sur elle-même, des avalanches de flammes se déversent sur les flancs de la montagne et rejoignent les pistes d’envol, de gigantesques torrents d’eau ravagent des bâtiments fragilisés par de nombreuses explosions, bref c’est le chaos ! À ces trois éléments déchainés vient s’ajouter celui de l’air qui manquait jusque-là. L’appareil parvient finalement à décoller, échappant ainsi à ce cataclysme, mais la carlingue est gravement endommagée et de nombreuses avaries vont menacer cette tentative désespérée de regagner un aéroport plus sûr. Au travers d’une mise en scène rythmée et à l’atmosphère de peur qui plane au-dessus des passagers, L’Équipage du 747 s’avère des plus convaincants. Une réussite accentuée par des effets spéciaux réussis et parfois spectaculaires. S’il ne révolutionne pas le genre catastrophe et bien qu’une fin heureuse se soit substituée à celle prévue au départ dans laquelle le commandant de bord mourait, L’Équipage du 747 ravira les amateurs de ce type de productions.

     

     


  • Affiche Pippo CAFARELLA

    Chers amis

    Nous avons le plaisir de retrouver Pippo Cafarella , poète et peintre

     le 30 mars prochain 20H15 EVREUX salle Jules Janin- ENTREE LIBRE
     

    Pour une soirée exceptionnelle de Rencontre Lecture et projection de ses oeuvres et d'images de ses lieux de vie
    Ne manquez pas ce grand rendez vous.

     Merci de diffuser largement cette invitation.

    Martial Maynadier Animateur du PARC


  •  

    BALLETS MOROSHKA DECEMBRE 2012

    Bon de réservation pour Paris (diner-spectacle ou spectacle seul)

     BALLETS MOROSHKA reservations

    Bon de réservation pour EVREUX (spectacle seul)

     Ballets MOROSHKA evreux






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