• Destins souverains. Joséphine, la Suède et la Russie- Dimanche 13 Novembre

    Bonjour à tous,

    L'association vous propose une sortie au mois de novembre au chateau de Rueil-Malmaison où a lieu une exposition temporaire sur Joséphine et la Russie. Nous organisons cette sortie le Dimanche 13 Novembre 2011. Il s'agit d'une visite-conférence d'une durée de 1H30 sur l'exposition temporaire. Le tarif serait de 150€ pour la visite guidée et de 8 € par personne en plus pour l'entrée du musée. (pour un groupe de 10 personnes). Soit au maximum pour 10 personnes, 23€ par personne, moins si nous sommes plus nombreux. La visite commencerait à 11H00 au château. Si vous êtes intéressés, il est nécessaire de réserver auprès de notre association afin que nous puissions calculer le tarif à demander avant le 30 Octobre. Vous pouvez nous contacter par téléphone au 02.32.31.26.96 ou à association.slavyanochka@gmail.com. Voici l'explication de l'exposition:   

     Destins souverains. Joséphine, la Suède et la Russie"
    24 septembre 2011 - 9 janvier 2012

     
     

     

    Le palais impérial de Compiègne, propose en partenariat et aux mêmes dates, l'exposition "Destins souverains. Napoléon 1er, le Tsar et le roi de Suède" où sera évoqué en complément le destin des trois souverains Napoléon 1er, Bernadotte et Alexandre 1er. Rivaux, alliés puis ennemis, leur histoire a marqué le devenir européen du début du XIXème siècle.

    L'acquittement du billet plein tarif pour l'une des expositions « Destins souverains » donnera lieu au tarif réduit dans l'autre site partenaire (sur présentation du billet).

    Le château de Malmaison, résidence de l'impératrice Joséphine accueille avec le Palais impérial de Compiègne une partie de l'exposition organisée à Stockholm en 2010 consacrée à Napoléon Ier, au tsar Alexandre Ier et au maréchal Bernadotte devenu le roi de Suède Charles XIV Jean.

     

    Cette exposition se concentre sur les réseaux familiaux qui se sont tissés entre les trois dynasties par l'intermédiaire de l'Impératrice et de sa descendance, denombreux prêts en provenance des collections suédoises et russes viennent enrichir le propos, illustré par la présentation de quelque cent cinquante oeuvres.

     

    En effet, tandis que Joséphine de Leuchtenberg, fille du prince Eugène de Beauharnais et aînée des petites-filles de l'Impératrice, épouse en 1823 le prince héritier Oscar de Suède, son frère puiné, Maximilien, s'allie en 1839 avec la fille
    du tsar Nicolas Ier. L'analyse de ces liens familiaux permet de suivre le chemin des collections de l'Impératrice dont des chefs d'oeuvre figurent de nos jours aussi bien dans les collections royales suédoises qu'au musée de l'Ermitage, héritier des oeuvres d'art des Beauharnais-Leuchtenberg-Romanov.

     

    Au-delà du goût de l'Impératrice, ces pièces de prestige reflètent les canons artistiques de l'époque en même temps qu'elles les véhiculent. Ainsi en est-il des pièces du célèbre service Dihl et Guerhard conservées au musée de l'Ermitage qui retrouveront celles que possède Malmaison, entreprise pour la première fois tentée en France depuis l'envoi de ce service à Munich par le Prince Eugène. Ces oeuvres d'une maîtrise technique rare, et notamment les pièces du surtout, témoignent de la persistance des modèles antiques. En écho on peut découvrir des peintures des collections de l'Impératrice que le musée de l'Ermitage prête très exceptionnellement.

     

    De nombreux portraits des collections royales suédoises nous révèlent les visages d'Oscar, prince héritier de Suède et de sa jeune épouse la princesse Joséphine; une série de bustes font revivre leurs enfants. Du côté russe, les portraits de Maximilien de Leuchtenberg et de la princesse Maria Nicolaievna, fille du tsar, rappellent leur union. La compréhension de ces liens familiaux, constitutifs de la construction de l'Europe postnapoléonienne, passe aussi par tous les souvenirs intimes, bibelots et objets du quotidien de ces princes, prêtés par les collections royales suédoises.

     

    Ces images de vies parlent des personnalités, contribuent à la transmission des références familiales auxquelles leurs détenteurs sont attachés. L'accent donné aux souvenirs de famille donne la mesure du travail de la mémoire et de la tradition historique au sein des dynasties descendantes de Joséphine.

     

    Le parcours de l'exposition évoque dans une première séquence les visites du tsar Alexandre Ier à Malmaison en avril et mai 1814 et ses liens avec Joséphine et ses enfants, le prince Eugène et la reine Hortense. Y est exposé le fameux camée antique, dit « camée Gonzague », conservé à l'Ermitage, cadeau de Joséphine au tsar.

     


    La section suivante illustre tout d'abord, autour de son berceau, la naissance de la petite Joséphine, fille d'Eugène et de la princesse Auguste-Amélie de Bavière, puis, grâce notamment à des prêts exceptionnels de Sa Majesté Le roi de Suède, son mariage avec le fils de Bernadotte, Oscar, futur roi de Suède, et les enfants nés de leur union. On peut admirer entre autres : le nécessaire de Biennais de la future reine. Une troisième séquence montre le mariage de son frère Maximilien avec la fille du tsar Nicolas Ier et son installation en Russie. La scénographie met en valeur le célèbre service de dessert créé par la manufacture de porcelaine Dihl et Guerhard pour l’impératrice Joséphine et son fils, le prince Eugène de Beauharnais, dont l'extraordinaire surtout sera vu pour la première fois en France. Les oeuvres provenant des collections de Joséphine à Malmaison, conservées en Suède et en Russie, sont pour certaines présentées à leur emplacement d'origine.

     


    Le parcours se poursuit au Palais impérial de Compiègne pour découvrir la fascinante épopée et le destin hors du commun des trois souverains, Napoléon Ier, Bernadotte et Alexandre Ier : rivaux, alliés puis ennemis, ces trois figures historiques ont marqué le devenir européen au début du XIXe siècle. La force des symboles impériaux, portés par les arts décoratifs français, survivra à la chute de l'Empire : un exceptionnel ensemble d'objets d'art luxueux–bronzes, vases de pierres dures et porcelaines– aux côtés des reconstitutions partielles de la chambre de Bernadotte et du bureau d'Alexandre Ier au Palais d'hiver, témoignent du rayonnement du style Empire dans les cours du nord de l'Europe, à Stockholm et à Saint-Pétersbourg

     

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