• Le sauvage, la cerisaie, oncle Vania et neuf pièces en un acte de Tchekov

     



    Le sauvage

    "Le Sauvage" (en russe, "Le Sylvain") est la troisième grande pièce de Tchekhov, et se situe chronologiquement entre "vanov" et "La Mouette". Conçue en 1888, la pièce fut rédigée au printemps de 1889. Représentée pour la première fois à Moscou en décembre de la même année, la pièce, dont la composition et la technique étaient inhabituelles, ne fut comprise ni du public ni de la critique.

    La cerisaie

    En cette fin de XIXe siècle, le mois de mai s'installe doucement en Russie dans la propriété de Lioubov Andréïevna, tout juste revenue de Paris après cinq ans d'absence. En compagnie de son frère et de quelques parents et amis, elle contemple les délicates fleurs des innombrables cerisiers de la propriété onduler doucement dans la brise, en pensant au passé. Rien ne semble avoir changé depuis l'âge d'or de son enfance. Pourtant, rien n'est plus comme avant. Lioubov a dilapidé son héritage au profit d'un amant français et la propriété ne rapporte plus autant de revenus que du temps de ses parents. Aveuglés par la nostalgie, le frère et la sœur refusent pourtant d'adapter leur chère Cerisaie aux nouvelles contraintes de cette Russie moderne en pleine émergence. « Chacun d'entre nous a sa Cerisaie intérieure », remarquait Rouslan Kats, le directeur de production de La Cerisaie - en 2004 au Canada - en faisant référence à notre attachement aux lieux évoquant des moments heureux[1].

    Oncle Vania

    Elle raconte la fin du séjour d'été mouvementé du professeur Sérébriakov et de sa jeune épouse Eléna chez leur beau-frère Ivan Voïnitski (l'oncle Vania qui donne son nom à la pièce).

    « La dame de pique de PouchkineCe fou de Platonov, Ivanov, les trois sœurs et la mouette »

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