• redécouvrir un conte russe pour nos jeunes lecteurs



    voici notre dernier ouvrage jeunesse (7 à 12 ans)
    de la lecture et des images pleines pages
    pour les fêtes de fin d'année

    des marque-pages en cadeau

    • "L'Oiseau de feu" 

    d'Aliocha Gouverneur & Eric Herbette  (septembre 2017) d'après le conte d'Alexandre Afanassiev


    • Dans un pays lointain vit un tsar entouré de ses trois fils : Dimitri, Vassili et Ivan.
      Ce royaume possède un jardin extraordinaire.
      Il y pousse toutes sortes de fleurs et d’arbres rares.
      Au milieu, trône un pommier.
      Tous les jours quand le tsar se lève, il se précipite pour l’admirer.
      Mais un matin… une pomme d’or a disparu !

    Que devra faire le plus jeune des prince … entre magie et conte - une histoire pour grandir …

     

     Format : 16 x 28 cm
    Nbre de pages : 48
    Prix : 17 euros



    Merci de votre accueil - nous sommes à votre disposition - vous pouvez faire circuler l'information auprès des bibliothèques, librairies, presse et particuliers.

    Tertium éditions
    38 av Charles de Verninac
    46110 Vayrac

    Tél. 09 62 03 18 96

    www.tertium-editions.fr 

    L'oiseau de Feu

     


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  • SAMEDI 14 OCTOBRE 2017; Larissa AndersenRencontre : Larissa Andersen (personnalité présente encore à définir)

    Présentation des poésies de Larissa Andersen pour la première fois traduites en français et publiée par la collection Le Parc en collaboration avec l'éditrice russe, Tamara Kaliberova, et l'association parisienne Franco-russe, Glagol.
    Poétesse appréciée par Soljenitsine et des artistes ou auteurs russes réputés comme Alexandre Vertinski et Eugène Evtouchenko, Larissa Andersen a écrit un livre appelé "MIROIRS"  en français, "Зеркалa" en russe .
    Ce  livre bilingue a été traduit par Martial Maynadier  avec la collaboration de Katerina Guilbert . Il est en cours d'édition.
    Née en 1911 à  Khabarovsk, Russie, décédée le  29/03/2012 au Puy-en-Velay, France
    célèbre poète et danseuse orientale branche de la diaspora russe.
    En Octobre 1922 de Vladivostok Larissa, avec ses parents, elle part en exil, d'abord en Chine, puis déménage en France.
    En 1956, Larissa Andersen épouse un Français Maurice Chaize, représentant des plus grandes compagnies maritimes, qui tombe amoureux d'elle à première vue. Grâce au travail de son mari elle commence une vie de voyages. En Inde, Larissa a travaillé avec le professeur de yoga Indra Devi, son premier mentor. Larissa s’est profondément intéressée au  yoga Agni, à la  théosophie, au fabuleux Orient. Au cours de sa vie, elle rencontra de nombreux écrivains et poètes de par le monde.

  • SAMEDI 23 JUIN 2018

    Sortie : musée de la Comtesse de Ségur à Aubé + Musée Alain

     

    C’est le 19 Juillet 1799, selon le calendrier grégorien, ou le 1er Août 1799 selon le calendrier Byzantin, que naissait à Saint-Pétersbourg en Russie, Sophie Rostopchine, future Comtesse de Ségur.

    Le 14 Juillet 1819, Sophie épouse Eugène de Ségur à Paris. En 1821, le jeune couple achète le château et la terre des Nouettes à Aube. Dès lors, et jusqu’en 1872, le château des Nouettes va devenir « ... un lieu de bonheur pour la Comtesse de Ségur qui y passa les plus beaux moments de son existence » (J.M. Ergal et MJ. Strich - la Comtesse de Ségur - 1990).

    A cinquante-sept ans, en 1856, la Comtesse de Ségur fait son entrée dans la littérature, devenant l’auteur vedette de la Bibliothèque Rose, célèbre collection de la Librairie Hachette. Les Nouettes, Aube et la Normandie auront une place de première importance dans ses écrits.

     

    SORTIE SAMEDI 23 JUIN AU MUSEE COMTESSE DE SEGUR

    Rdv Départ 10h15 Place Dupont de l’Eure

    • ~ 1h30 de route: arrêt rapide à la Chapelle-MontligeonSAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée Alain

     

     

     

     

     

     

     

    • SAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée AlainArrivée vers 12h Restaurant « Le bistrot des écuries ».
      La Grande Maison, 61110 Boissy-Maugis

     

     

     

     

     

    • SAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée AlainESAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée Alainnsuite 20 mins de route 
    • 14h30 Musée Alain
      3 Rue du Portail Saint-Denis, 61400 Mortagne-au-Perche
      horaires : 14h30-18h
    • Un musée Alain
      Alain n'aimait pas les "importants". Lui consacrer une musée, ne serait-ce pas le statufier, en faire un "important" ? Il n'en est rien ! La pensée d'Alain, la "méthode" d'Alain, il vous suffit d'ouvrir ses Propos pour la découvrir et la faire vôtre : elle n'est pas fossilisée, elle  est toujours vivante. Et pourtant il est indispensable de venir jusqu'à Mortagne-au-Perche pousser la porte du Musée que nous vous présentons , de part et d'autre de ce texte, en images. Sa visite donnera un peu de chair à cette pensée d'un homme qui a disparu déjà... depuis le milieu du siècle dernier. Pour les jeunes générations, c'est un passé lointain englouti dans les brumes du temps. Dans cette perspective, il était important de pouvoir resituer notre philosophe dans son temps, de fournir quelques repères visuels aux générations d'aujourd'hui et de demain. Lire sur les tables du musée des textes autobiographiques pleins d'humour, des annotations de copies d'élèves, un discours de distribution des Prix percutant, des Propos ciselés et indémodables peut parler à l'esprit de nos contemporains. Regarder la photo d'Alain dans son "gourbi" d'artilleur non loin de cette Chaussée de Calonne où tomba le trop jeune Alain-Fournier, pose sur le XXe siècle un jalon essentiel. Découvrir quelques-uns de ses tableaux, le voir au Pouldu derrière son chevalet, souligne l'amplitude de son esprit. Et son piano, son chapeau, sa pipe sur son bureau, ses deux bustes sur la cheminée, et sa statue au détour du couloir, n'est-ce pas trop? Mais non ! C'est une excellente introduction à la richesse de notre fonds Alain qui attend le chercheur, l'étudiant, l'enthousiaste ou le simple amateur. La richesse de ce Fonds n'est plus à vanter : venez pousser la porte du musée Alain à Mortagne pour rencontrer sa ville natale.
    • 30 mins de route
    • SAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée Alain

      16h30 Musée de la Comtesse de SégurSAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée Alain
      Rue de l'Abbé Roger Derry, 61270 Aube
      horaires : 14h-18h

     

     

    • SAMEDI 23 JUIN 2018 "Sortie au musée de la comtesse de Ségur" + Musée AlainVisite extérieure du château des Nouettes à Aube-château de la Comtesse de Ségur transformé en Institut médico-éducatif
      338 Domaine des Nouettes, 61270 Aube)

  •  Samedi 10 Octobre 2015 à 15 h00 Mini-conférence d'art

     

    Suite ... les peintres selon Nikita Mikhalkov

     

    DOCUMENTAIRE :L’auteur de ce projet tout unique Nikita Mikhalkov présente au public les tableaux de ses peintres préférés du XIX-e siècle. C’est un panorama de tendances et de goûts artistiques de cette époque-là. C’est aussi les destins surprenants des artistes peintres et de leurs personnages, l’histoire de la création des chefs-d’oeuvres de la peinture russe, une vision approfondie de la culture russe, et tout particulièrement de la peinture russe. Grâce à son choix très personnel des oeuvres présentées, à son intonation vive et spontanée, les tableaux des grands peintres russes nous feront entendre «la musique de la peinture russe», et découvrir tout ce qui nous cachait souvent notre regard momentané et superficiel. Certes, ce film donne le sentiment d’être en communion avec le patrimoine tout unique de notre grand pays et la fierté de faire partie de ce grand peuple et de son histoire! Ce projet est sans aucun doute une action culturelle et civique, voire un effort d’abnégation de N. Mikhalkov visant à la consolidation de la conscience nationale russe.


  • SAMEDI 26 MAI

    Conférence d’histoire présentée par Georges Kichinewsky
    + L’Eté froid de 53

    Film de fiction, U.R.S.S., 1988, de Alexandre Prochkine, en couleur, sonore.

     Ce film fit l'effet d'une bombe à sa sortie en 1988, en pleine perestroïka, parce qu'il abordait un thème encore largement tabou, celui du traitement des prisonniers de guerre par le régime soviétique. Le genre est celui d'un véritable western made in USSR. L'action de déroule à l'été 1953 dans un petit village isolé de Sibérie relié au monde uniquement par un fleuve. Staline est mort en mars de la même année et Beria a fait voter en mai une amnistie pour les "droit commun". La société est déstabilisée par la mort du vojd' et  la période de flottement qui s'ensuit. Le film commence au moment où la nouvelle de l'arrestation de Beria parvient juste au village. Une bande de dangereux criminels amnistiés, après avoir attaqué un convoi transportant de l'or, se cache dans le village et va terroriser les habitants. Ces derniers vont être défendus par deux anciens détenus politiques qui, eux, n'ont bénéficié d'aucune remise de peine, et purgent ici leur assignation à résidence (pour encore 5 ans) après avoir fait leur condamnation en camp. Ces deux hommes ont été arrêtés pour deux motifs bien différents. Le premier, surnommé Louzga, est prisonnier de guerre. Ancien  éclaireur sur le 1er front front biélorusse pendant la guerre, il a été coupé de son unité, puis considéré comme un traître. Il a écopé de la condamnation maximum. Justicier à l'âme bien trempée, il a perdu toute illusion sur le pouvoir soviétique mais conservé ses qualités humaines. C'est lui le héros du film (interprété par Valéri Priemykhov). Le deuxième, Kopalytch, a un profil tout autre. Ingénieur en chef en mission à l'étranger, il a été arrêté en 1939 sous l'accusation d'espionnage à la solde des Anglais, puis déporté. Il est interprété par l'acteur très populaire Anatoli Papanov, dont c'et le dernier rôle. Bien qu'il s'agisse de deux déportés politiques, leur rapport au régime est totalement différent. Kopalytch conserve une forme d'aveuglement quant aux crimes du régime.

    L'Eté froid de 53  a été vu par 64 millons de spectateurs en une seule année  en URSS (puis acheté par 42 pays). Ce score exceptionnel pour un film russe prouve que le film a pris dans la conscience des spectateurs une certaine place due au besoin de l'opinion publique d'un dialogue sur le sujet, alors que les officiels n'y étaient encore prêts (la commande initiale de Mosfilm au réalisateur portait sur un film policier sans allusions à 1953).